Pourquoi beaucoup des études publiées actuellement à propos de l’efficacité des vaccins n’incluent plus de cohortes de personnes non vaccinées ?
Peut-être parce que les résultats de ces comparaisons ne sont plus aussi favorables que par le passé ?
Je ne connais pas la raison fondamentale puisque ces raisons ne sont jamais expliquées par les auteurs.
Quoiqu’il en soit, voici ce que disent ces scientifiques israéliens après avoir suivi pendant six mois un peu plus de 11.000 travailleurs dans le secteur des soins de santé. Ils comparent les résultats obtenus entre une cohorte de 3 doses à une chorte de 4 doses :
« L’efficacité du vaccin dans le temps (qui, dans notre analyse, a comparé les taux d’infection parmi les participants qui n’avaient pas encore été infectés depuis la vaccination) a diminué avec le temps, passant de 52 % (IC 95 %, 45 à 58) au cours des 5 premières semaines après la vaccination à -2 % (IC 95 %, -27 à 17) entre 15 et 26 semaines. »
Des résultats pas terribles… en somme.
Cette étude sert d’outil promotionnel à Eric Topol (un défenseur acharné des vaccins) pour indiquer qu’une politique annuelle de rappel est utopique considérant la rapidité de la diminution de l’efficacité.
Il ne dit cependant pas quelle devrait être alors cette politique.
(4x/an ? A chaque annonce de vague ? Un baxter permanent ?).
Le plus curieux, cependant, est que ces résultats excluent les personnes infectées.
Les résultats s’en trouveraient probablement changés et la conclusion très certainement différente.
Je vous invite à lire cette étude afin de connâitre les autres conclusions et limitations.
.